La contemplation plutôt que le rêve...

Publié le par kafkaaulycee

Le rêve ne mène à rien d'autre qu'au désastre.

La contemplation, quand elle entre dans un processus actif (elle en est le temps de repos) engendre des émotions fortes et roboratives. Témoins ces fins de journées au jardin ce week-end dernier...

La contemplation plutôt que le rêve...
La contemplation plutôt que le rêve...
La contemplation plutôt que le rêve...
La contemplation plutôt que le rêve...

Et toujours le Madres au loin..

La contemplation plutôt que le rêve...

La prise en considération de tout ce qui pousse "au mauvais endroit" me donne de plus en plus souvent des émotions fortes.

Je m'explique :

Avant, j'arrachais tout ce qui n'entrait pas dans un cadre précis. En bref, j'agissais selon le principe : chaque plante à sa place !

Depuis qqs mois, je me dis qu'une "mauvaise herbe" ou un fleur surgie au "mauvais endroit" (sujette donc à être arrachée a priori car incongrue) est aujourd'hui pour moi, la cause d'une émotion forte. En cela je suis les préceptes de Gilles Clément, célèbre paysagiste, qui fait l'éloge des "plantes vagabondes".

PS : je ne suis pas d'accord avec toutes ses thèses. Mais j'en reparlerai...

Un exemple de cette évolution, ce magnifique delphinium éclatant au milieu des groseilliers ! Un régal pour mes yeux, revenus du Maroc où la couleur bleue m'a subjugué (voir plus bas les articles relatant mon voyage)

La contemplation plutôt que le rêve...
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